29 février 2016
12 février 2016
Don du Lions Club à Lire et Faire Lire
Lors du petit déjeuner festif organisé à l'UDAF de Lagord le 9 février 2016, le Lions Club, en la personne de M. Fercken, a présenté son soutient à Lire et Faire Lire à travers un don de 500 euros. Cette somme a permis d'acheter de nouveaux livres pour les enfants. Ils seront stockés à la bibliothèque de LFL située à l'UDAF de Lagord. Vous pouvez retrouver la liste de ces nouveaux ouvrages en cliquant sur le lien ci-contre.
Par ailleurs, Claire Gratias (marraine de Lire et Faire Lire) était présente et a pu se présenter, et expliquer pourquoi elle est devenue marraine de LFL.
Des journalistes étaient aussi présents lors de ce temps: vous pouvez prendre connaissance de l'interview qu'ils ont réalisé en cliquant sur le lien ci-contre.
L'interview est présenter par Yann Le Perff, journaliste pour la radio RCF de Charente-Maritimes.
08 février 2016
Une séance de lecture dans le cadre de LFL
Cette photo illustre une séance
de lecture aux enfants. Les bénévoles sont libres dans leur choix de
disposition de la salle (autour d’une table, par terre, etc). Ici, nous pouvons
voir que les enfants sont à une bonne hauteur et qu’ils sont attentifs à la
lecture réalisée par la bénévole. Le groupe est constitué de 7 enfants, ce qui
est idéal pour qu’une lecture se déroule dans la joie et la bonne humeur.
Par ailleurs nous vous informons
qu’un article sur LFL sera prochainement disponible dans le Sud-Ouest.
27 janvier 2016
04 janvier 2016
Les petits reporters de LFL interviewent l’écrivain Claire GRATIAS
Lors de la rencontre avec Claire Gratias le 16/11/2015 à Saintes |
Nous avons eu la
chance d’interviewer l’écrivain Claire Gratias lors d’une réunion de
présentation de ses ouvrages aux bénévoles de « Lire et faire lire »
du secteur de Saintes. Durant cette présentation, chacun de nous a pu partager
la passion de Claire pour la littérature et l’écriture. Ce moment d’échange a
également été l’occasion de retracer le parcours professionnel de Claire et son
métier d’écrivain : Claire a eu le plaisir de retrouver par hasard
Bernadette, son ancienne tutrice, aujourd’hui bénévole de « Lire et faire
lire », qui l’a supervisée quand elle a commencé son métier de professeur
de Lettres.
Les
Volontaires (L.V.) : Où avez-vous vécu votre enfance ?
Claire
Gratias (C.G.) : Je suis née à Versailles et j’ai vécu dans les
Yvelines jusqu’à mes quinze ans. A la
fin du collège nous avons déménagé à Aix-en-Provence, où j’ai fait mes années
de lycée ainsi que mes études universitaires, jusqu’à l’obtention du CAPES.
J’ai été nommée à Saintes en tant que professeur de Lettres en collège et
lycée. Je suis tombée amoureuse de Saintes, mais j’ai dû partir et je me suis
promis d’y revenir. Ça m’a pris vingt-deux ans, mais maintenant, pour rien au
monde je ne repartirais !
L.V. :
Pouvez-vous nous raconter un peu votre parcours scolaire et professionnel ?
C.G. :
Quand j’étais à l’école, on pouvait dire de moi que j’étais une bonne élève,
très littéraire, mais pas seulement. J’aimais également les langues, et en
terminale, je me suis découvert une aptitude pour les mathématiques grâce à un
professeur qui expliquait très bien. Par la suite, j’ai fait une première année
de Lettres Sup’, suivie d’une Maîtrise d’Allemand, puis d’une licence de
Lettres Modernes, qui m’a conduite au CAPES. Depuis 2004, je me consacre
uniquement à l’écriture.
L.V. :
Avez-vous d’autres projets professionnels pour la suite ?
C.G. :
Sans l’écriture il me manquerait quelque chose, mais je m’intéresse aussi à la
photographie. Ma production littéraire est très éclectique, car je m’ennuierais
beaucoup si je faisais toujours la même chose. C’est pourquoi je n’exclus pas
d’écrire un jour à destination des adultes.
L.V. :
Comment vivez-vous votre vie en tant qu’écrivaine ?
C.G. :
Contrairement à certains auteurs qui s’imposent un rythme précis, parfois
draconien, je n’écris pas de manière régulière ; le matin en général, mais
certains jours un quart d’heure ou une demi-heure, d’autres plusieurs heures
d’affilée. En tout cas, jamais la nuit,
car j’ai besoin de beaucoup de sommeil ! À certains moments, je suis
tellement plongée dans le monde que je suis en train d’imaginer, les
personnages, le décor, l’histoire, etc, que je ne vois plus le temps s’écouler.
Côté
lecture, je lis de tout : polar, fantastique, science-fiction, roman
contemporain, roman étranger, relecture des grands classiques, théâtre, essais…
Je possède environ 3000 livres. Pour l’anecdote, en général, les gens qui
viennent chez moi regardent ma bibliothèque, puis me demandent, médusés
« Vous avez lu tout ça ? » Il m’arrive de répondre :
« Oh, bien sûr que non. Mais c’est un excellent isolant thermique et
phonique »…
L.V. :
Vous êtes la première marraine de Lire et Faire Lire, qu’est-ce que cela
représente pour vous ? Pourquoi ?
C.G. :
Le fait d’être marraine est important pour moi, car sans la lecture et les
histoires je ne serais jamais devenue écrivain. De plus, je porte un fort
intérêt au rôle de « passeur » des bénévoles de Lire et Faire Lire.
Cette action participe à l’évolution de la culture générale des enfants.
L.V. :
Comment avez-vous découvert l’association Lire et Faire Lire ?
C.G. :
Lors de Salons du Livre et d’autres événements, j’ai eu la chance de croiser
des membres de l’association. J’ai également lu les livres d’Alexandre Jardin,
que j’apprécie beaucoup.
L.V. :
Avez-vous des idées de nouvelles formations que l’on pourrait proposer ?
C.G. :
Je pense qu’une formation visant la lecture pour les adolescents pourrait être
intéressante. Je peux également proposer une approche de la comptine pour les
plus petits, ainsi qu’une formation sur les différents genres et
sous-genres : autour du polar (la différence entre roman policier, roman
noir, et thriller), ou du fantastique (la différence entre science-fiction,
fantastique, merveilleux, fantasy…).
L.V. : Vous
êtes également membre de la Maison des Ecrivains, en quoi cela consiste ?
C.G. :
La Maison des Ecrivains est une association qui regroupe des écrivains pour
leur apporter des conseils juridiques, les informer sur leurs droits, leur
parler des événements tels les Salons du Livre, les tables rondes, etc… De
plus, l’association a des partenaires qui peuvent aider les écrivains à
financer les rencontres avec les lecteurs, notamment en milieu scolaire.
L.V. : Ecrivez-vous
pour une personne en particulier ?
C.G. :
Non. Je crois que Voltaire disait : « Un livre est une lettre
adressée à tous les amis qu’on a sur Terre », ou quelque chose comme ça.
L.V. : Vous
écrivez des livres pour les enfants, adolescents et les adultes. Eprouvez-vous
une difficulté particulière d’écrire pour un de ces publics ?
C.G. :
L’écriture des albums requiert une technique particulière : on écrit de
courts textes qui doivent être accessibles aux enfants. En apparence, c’est
plus facile à écrire qu’un roman de 300 pages pour des adolescents, mais
détrompez-vous, c’est un vrai défi !
L.V. : De
quelle manière est né Horatio ?
C.G. :
Horatio est né de l’idée de renverser les normes. Les adultes qui entourent les
enfants - parents, enseignants, etc - incitent généralement les enfants à lire
et à délaisser les écrans (télévision, tablettes, Smartphones, jeux vidéos,
aujourd’hui, les tentations sont de plus en plus nombreuses), en leur
expliquant que c’est mieux pour eux. Ici j’ai fait l’inverse : les parents
passent beaucoup de temps devant la télévision et demandent à leur fils
d’arrêter de lire, car ce n’est pas bon pour lui. Or, quand on est enfant ou
adolescent, on aime faire ce qui est interdit ! J’ai donc imaginé un petit
rat qui rêverait de devenir un véritable rat de bibliothèque et qui, grâce à la
télévision, va réussir à donner à ses parents le goût de la lecture. Un vrai
tour de force !
L.V. : Pourquoi
devenir un rat de bibliothèque ? Cela ne
pose-t-il pas la problématique de la solitude ?
C.G. :
Je ne l’avais pas vu dans ce sens, pour moi la lecture permet la rencontre et
l’échange, créer du lien avec les autres. Mais je pense qu’on se construit
aussi dans la solitude, car elle oblige à la rencontre avec soi-même.
L.V. : Avez-vous
de nouveaux romans en cours ?
C.G. :
Étant superstitieuse, j’ai pour habitude de ne pas parler de ce qui n’est pas
terminé, acté, signé. Donc, même sous la torture, je ne vous dirai rien pour
l’instant ! Mais soyez rassurés, j’ai plusieurs projets en route !
Félix
et Mélina
18 novembre 2015
Claire Gratias, marraine de Lire et Faire Lire en dédicace à la Maison de la Presse de Saintes
Chers/chères bénévoles, en
préfiguration des festivités de fin d’année, nous vous informons que notre
marraine, Claire Gratias, sera présente le mercredi 9 décembre après-midi à la
librairie Saliba, qui se situe dans l’avenue Gambetta à Saintes. Vous pourrez
la rencontrer et y faire dédicacer vos ouvrages. Deux
autres auteur.e.s locaux/les seront également présent.e.s, dont le dessinateur
Nicolas Tabary (Les aventures d’Orick
et de la Mouette trieuse – L’île aux trois couleurs,…).
Au plaisir de vous y
retrouver !
10 novembre 2015
Alexandre Jardin au forum des associations de Royan
Lors
du Forum des associations qui s’est tenu au Palais des Congrès de Royan, le
samedi 17 et le dimanche 18 octobre, l’association Lire et Faire Lire s’est joint
aux 110 autres présentes, grâce à l’invitation de l’association SNC (Solidarités
Nouvelles face au Chômage).
Elisabeth
Lequeux ainsi que huit autres bénévoles se sont relayé.e.s durant toute la
journée du samedi 17 octobre, pour animer le stand de l’association Lire et
Faire Lire. Le stand a été un franc succès, car huit personnes intéressées par les
actions ont laissé leurs coordonnées, trois se sont déjà inscrites et ont une
structure pour assurer des lectures dès la reprise de novembre.
[Page 1 : http://www.fichier-pdf.fr/2015/11/02/page-1/ ]
[Page 2: http://www.fichier-pdf.fr/2015/11/02/page-2/ ]
Les
impressions d’Elisabeth Lequeux, sur le forum sont positives : « Plusieurs bénévoles de Lire et Faire Lire
ont pu assistés à la table ronde, ainsi qu’avoir le plaisir de rencontrer Jacky
Boisron de La Ligue de l’Enseignement de La Rochelle. »
Par
ailleurs, elle ajoute : « Alexandre
Jardin est une personne qui remonte le moral et est convaincant, surtout si
l’on adhère à ses idées. Je pense qu’il se révolte, mais il croit en la
capacité qu’ont les gens à réagir et à se prendre en main pour trouver des solutions
et agir : les Faizeux. »
Selon
les impressions d’Elisabeth, le forum, ainsi que la table ronde ont pu ravir
ceux et celles qui ont été présent.e.s durant ce weekend.
02 novembre 2015
Le polar s'installe dans les médiathèques de La Jarrie
Les journalistes de Sud-Ouest ont investigué sur une mystérieuse exposition : "Le polar au féminin", une exposition nous permettant de faire la connaissance de seize auteures dont certaines ont été primées et certaines de nombreuses fois.
Dans leur rapport nous apprenons que les enquêtrices ne sont pas moins que les coresponsables de la médiathèque, ce situant à La Jarrie au 1 rue de l'Alerte : Viviane et Florence.
Chers/ères lecteurs/trices et bénévoles, vous trouverez ci-dessous les dates de vos prochaines enquêtes, si vous le souhaitez :
- vous avez la possibilité de découvrir l'exposition jusqu'au 16 novembre 2015.
- le samedi 14 novembre, nous avons le plaisir de retrouver Michel Pèrisse lors d'une lecture à haute voix destinée aux adultes à 15 heures précises.
Par ailleurs, les enfants n'ont pas été laissé de côté, puisque les classes de l'école élémentaire Jules Verne ont été accueilli à tour de rôle pour écouter la lecture d'une enquête policière de la collection Milan le 1er novembre dernier.
Vous pouvez trouver le rapport des journalistes en cliquant sur le lien ci-contre :